Je t’aime mon amour, mon bijou précieux, ma petite boule de poils, ma peluche qui ronfle. Je t’aime en crever à m’arracher le cœur, je t’aime comme ta grande sœur partie trop tôt, je t’aime tellement que ça me fait mal. J’aime te regarder du bout des griffes à la pointe de la queue, j’aime sentir ton souffle et entendre tes petites pattes sur le sol qui viennent vers moi. J’aime ta respiration appuyée lorsque, tu en as marre de moi, tes grognements et tes bruits indescriptibles Lorsque tu veux que l’on te voit. J’aime chaque seconde comme un instant précieux car je sais que tes années avec moi ne seront pas longues du moins pas assez pour tout l’amour que j’ai à te donner. J’adore ta folie de bébé chien que tu resteras toujours, je chérie les moments où tu t’endors contre moi, et où tes rêves t’emportent dans des merveilleuses ballades, j’adore ta chaleur et entendre battre ton cœur. J’aime quand tu te blottis entre mes jambes pour dormir et faire tes plus beaux rêves, j’ adore voir tes oreilles à l’écoute du moindre bruit et ta truffe à l’affût de la moindre odeur. J’aime la pureté que je vois dans ton regard, ces petits yeux qui ne portent aucun jugement. Je le chérie le bonheur que tu exprimes lorsque tu me vois tout comme ton besoin constant de te blottir contre moi. Je meurs de culpabilité lorsque ton regard se fait triste quand tu me vois passer la porte sans toi. J’espère que tu comprends que si je pouvais, je t’emmènerais partout avec moi. Je vis avec la peur que tu partes trop tôt trop vite comme ta grande sœur, je te souhaiterais éternelle, même si je sais que c’est un rêve irréel...
JulyGabyJuliet
Julie, jeune nénette fan de nailart, make up, mode, coiffure, animaux et j'en passe =) Je suis piplette, curieuse, amoureuse ! Bienvenue dans mon monde ! ! !
jeudi 3 avril 2025
dimanche 26 mai 2024
Étouffer
Étouffer c’est l’une des morts les plus lentes et douloureuses, sentir son corps incapable de respirer, cette action si simple et naturelle, ne plus réussir à prendre l’air qui nous est nécessaire pour vivre, lutter, gémir, implorer, avoir la poitrine qui refuse de se gonfler de ce précieux oxygène vital.
Il paraît qu’on finit par s’évanouir avant que la mort vienne, mais que la lutte durant ces quelques ultimes minutes doit paraître longue et injuste. Se sentir impuissant face à un simple manque d’une essence impalpable et invisible mais si important à notre vie.
La dépression est comparable en ça a l’étouffement, on se bat contre des ombres, on étouffe sous des idées, on s’effondre accablé par des ressentis.
Ne pas savoir justifier pourquoi l’on pleure et s’abrutir de médicaments pour combler le trou dans notre poitrine, c’est se sentir seul, vide et épuisé par le port constant de ce masque de bienveillance et ce sourire qui n’a aucun reflet dans nos yeux.
Échapper à ça serait simple mais fatal…
dimanche 18 février 2024
La réalité ..
dimanche 13 août 2023
L’amoureux insouciant
mardi 16 mai 2023
Épuisée
vendredi 2 décembre 2022
Irrationnelle
Donner toujours donner, aimer de façon inconditionnelle sans jamais laisser la rancune t’envahir, être si loin dans l’amour qu’on en oublie ses propres besoins et sa propre raison.
L’irrationalité c’est ce qui me pert parce que je pardonne trop il parait. Je trouve trop d’excuses aux personnes que j’aime, je les crois quand ils me disent être sincère, je les sais humain et je veux réparer leurs failles, je vais parfois les sauver à tout pris au point de me mettre en danger…
Punching-ball : ça pourrait être mon surnom mais en même temps mon prénom signifie martyr, à croire que j’étais destiner à vouloir me sacrifier pour les autres… un coeur pur se doit de ne pas penser à lui, du moins c’est ce que mon cerveau a enregistré depuis des années.
Incapable, assistée, sans avenir: c’est ce que j’ai toujours cru parce qu’on me l’a dit sans mots, qu’on me l’a fait comprendre par des regards compatissants et des soupirs…
Malade: toujours. Un corps qui ne suit pas, hors normes, douloureux sans explication. La dépression est venue s’installer sans que je la remarque d’une façon insidieuse et incisive. Elle m’a mise à tard, même encore plus bas et elle a failli creuser ma tombe.
Debout. Toujours là. Combattante et combative parce que rien n’est jamais simple que malgré tout j’aime ma vie et les humains qui la composent.
dimanche 24 juillet 2022
Pensée
L’amour fait écrire, il réveille nos sens et nous prend au tripes. Bien sûr ce n’est pas le bonheur d’un amour platonique qui nous rend poète mais la passion d’un amour déchirant et impossible, celui qui unit deux corps dans un effluve de sensualité interdit, qui déchire les cœurs par des attentes irréalistes, celui qui réveille les âmes torturées au cœur de la nuit, qui les fait sortir dans la clarté du matin et regarder le ciel étoilé se transformer au premier rayon du soleil.
Lorsque la passion de l’amour nous rend fou, au bord des larmes et de la crise de nerfs, à ne plus réussir à se nourrir, à vouloir capturer les instants de plaisirs fugaces qui nous font vibrer comme les cordes d’une guitare, seule l’écriture nous délasse accompagnée d’une musique qui nous emporte auprès de l’être aimé.
L’amour nous permet d’exercer notre plume, nous devenons lyrique et triste, romantique à en faire pâlir la blanche Ophélie sur son lac. Tout semble mélancolique quand le cœur n’a pas ce qu’il veut, quand le cerveau nous rappelle constamment la sensation du toucher de l’autre sur sa peau.
Chaque clignement d’œil ramène dans les bras de cette personne tant désirée,tant voulue. On s’accroche au dernier souvenir que l’on a, on revit nos sensations, nos frissons de plaisir, le goût de ses lèvres, de sa peau sous notre langue, l’odeur qui émanait de ses cheveux et son sourire étrangement joueur.
L’amour transforme l’être aimé en drogue dure, on est en manque, on le désire plus que la vie et le sommeil nous remet à chaque fois dans ses bras.
L’absence de réciprocité rend chaque moment fantasmagorique et incertain, on devient un zombie sans cette personne, mis en pause ou en mode automatique quand elle ne se manifeste pas dans notre vie. L’amour nous fait oublier la raison et croire que cette personne est l’oxygène.